POURSUIVONS AVEC LA PENSÉE DE CYRIL SERVA

«La volonté de ces politiciens de toujours éviter le débat sur l’essentiel, le débat sur la Constitution politique qui conviendrait aux exigences de développement global de l’homme guadeloupéen est d’essence alimentaire. L’économisme a toujours tenu lieu de politique, sous divers alibis : la peur de l’aventure, la peur de son ombre, c’est-à-dire du noir, l’attachement aux droits acquis etc. Enfermée dans de telles limites et considérations, la politique de nos politiciens, décennie après décennie ne connaît d’autre dynamisme que celui de l’accumulation quantitative et son cortège de droits à ceci, à cela, en un mot de droits-créances.
Or, nous croyons impossible de sortir une agrégation d’hommes et de femmes du statut de la «minorité» sans que soit posé et résolu le problème du statut politique de leur communauté sociale. Autrement dit, vain est le mot démocratie si en quelque part il ne s’associe pas à une forme majeure de responsabilité».

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