OPÉRATION DE CONTRÔLE CONJOINTE DES BUS DE TRANSPORT SCOLAIRE

En collaboration avec la gendarmerie et la direction de l’environne- ment, de l’aménagement et du logement (DEAL) chargée de la gestion et du contrôle des transports publics routiers, la Communauté d’agglomération du Nord Basse-Terre (CANBT) a effectué une campagne d’inspection des véhicules mis à disposi- tion dans le cadre de ses marchés scolaires. Cette opération […]

LE GIP-RASPEG, L’A ÉCHAPPÉ BELLE

Myriam Chollet est maintenue à la tête du GIP-RASPEG. Une décision arrêtée et actée le mercredi 27 janvier 2021 à l’issue du Conseil d’administration. C’est le fruit de nombreuses médiations. C’est une décision salutaire pour la bonne marche de l’établissement et pour la paix sociale. Seule la lutte paye !

LES ENSEIGNANTS DU COLLÈGE DES ABYMES ONT DÉBRAYÉS

Les enseignants du collège Aurélie Lambourde du Bourg des Abymes ont exercé leur droit de retrait le jeudi 14 janvier, après avoir été informés par la direction de l’établissement que les condi- t ions de respect du protocole sanitaire, en raison de la pandémie actuelle ne pouvait être garantie. En réalité, l’établissement a été confronté […]

Chlordécone : ni non-lieu, ni prescription !

Le scandale du chlordécone a été révélé après des années de dégâts sur le plan de la qualité de nos sols agricoles, de nos nappes phréatiques, de l’envi- ronnement et surtout de la santé publique. Le préjudice est incalculable. Parler de crime contre l’homme guadeloupéen n’est pas exagéré.

JISTIS POU KLOD JEAN-PIERRE«PWOKIRÈ SICOT, AWA NOU PA DAKO ÈVÈ-OU !»

Le «Kolèktif Gwadloup kont vyo- lans a jandam», très remonté après les déclarations du procureur Sicot lors de sa conférence de presse, lais- sant entendre que les gendarmes n’avaient pas commis de violence contre M. Claude Jean-Pierre, a décidé de battre campagne pour porter l’information à la population guadeloupéenne. C’est ainsi que s’est tenu place […]

Chlordécone : Pas de prescription pour les empoisonneurs !

«Ah ! Nèg-la, ou ja pran !» (chanté par Jocelyne Labylle) Des paroles d’une chanson qui exprime parfaitement nos pro- pos. Nous, ces descendants d’Africains réduits en esclavage, po ko fini pwan, pétèt. Nous n’avons pas encore fini, peut- être, de prendre, de souffrir, «an gyèl a blan», si enfin, nous ne relevons pas la tête pour dire, statutairement parlant : «nou boufi épi sa» ! Cela suffit !

Résistons contre tous les dangers

L’heure est venue de rompre avec le système d’assimilation et de tutelle et de changer de cap, pour prendre le chemin de la responsabilité.

Qui a dit que l’Etat était neutre ?

L’ actualité de ces derniers temps nous renvoie à une question cruciale du fonc- t ionnement de la société dans laquelle nous vivons. Il y a deux jours, une institution de l’Etat français, l’Assemblée nationale, a voté à l’unanimité une loi qui prétend mettre un terme à la crise de l’eau en Guadeloupe en dessaisissant […]